PREPAR poursuit son engagement à l’occasion de Movember

Dans la continuité d’Octobre Rose, PREPAR-VIE soutient Movember.

Les hommes ayant été atteints d’un cancer masculin (prostate, testicule) ont désormais accès à l’assurance emprunteur distribuée par la BRED Banque Populaire, sans surprime ni exclusion, dès la fin du protocole thérapeutique actif.

Ce mois-ci, la moustache est plus qu’un style : le symbole d’un engagement collectif pour la santé des hommes !

PERI BRED : n°1 « réseaux bancaires » des Grands Prix PER 2025

 Jamais 2 sans 3 : encore un prix pour notre PERI BRED !

Après le Label d’Excellence Les Dossiers de l’Epargne et de l’Assurance et le prix Meilleurs PER 2025 de Challenges magazine, Mieux Vivre Votre Argent hisse notre PERI BRED en haut du podium des Grands Prix PER 2025 : N° 1 de la catégorie « réseaux bancaires » !

Sont particulièrement salués :
• son offre financière complète et accessible,
• ses frais maîtrisés,
• son engagement fort en matière d’investissement responsable (profil 100 % ISR),
• ses performances.

Retrouvez l’ensemble de la publication.

Conjoncture financière à fin septembre 2025

L’Union Européenne entre le marteau américain et l’enclume chinoise

En dépit de la multiplication des revers auxquels les économies ont été confrontées à diverses reprises au cours de l’exercice 2025, la croissance mondiale aura été soutenue par une vague de désinflation qui a constitué le dénominateur commun d’une résilience inattendue. La Zone Euro est probablement l’une des régions où ce processus est le plus abouti, libérant une marge de détente de la politique monétaire. La Banque Centrale européenne, bien en avance sur les Etats-Unis, a procédé en quelques mois seulement à 8 baisses successives, ramenant son principal taux d’intervention à 2 %, niveau proche de celui de l’inflation, laissant néanmoins à ce jour une modeste marge pour une nouvelle phase de détente.

La guerre commerciale entamée par les Etats-Unis avec le reste du monde a aussi été un moment de rudes négociations des intérêts européens avec la Commission. Si elles ont abouti à la signature d’un accord en août 2025, il n’en est pas moins toujours insatisfaisant et plus encore toujours instable. Ainsi a-t-il été à nouveau menacé de durcissement par le président américain dans le domaine de la pharmacie. Ce dernier n’a pas non plus hésité à brandir ces droits pour contraindre l’Union à assouplir les normes qui encadrent notre marché domestique de l’Intelligence Artificielle.

Les autres partenaires des Etats-Unis s’adaptent à leur tour aux conséquences de la guerre commerciale et peu sont épargnés. Si la Chine y apporte des réponses frontales en durcissant à son tour ses droits sur les produits américains, en resserrant ses contrôles sur les terres rares et ses produits dérivés, elle cherche en même temps de nouveaux marchés. L’UE, son second partenaire en matière d’exportations, est une des principales destinations vers lesquelles elle cherche à écouler ses excédents. Que ce soit sur les véhicules électriques, plus récemment sur les importations d’acier ou les petits colis, l’UE n’a trouvé à ce jour que des réponses au cas par cas, et toutes très éloignées des enjeux d’une profonde reconfiguration du commerce et des industries.

Prise entre le marteau des droits de douane américains et l’enclume des exportations chinoises, l’UE est affaiblie, à la recherche d’une stratégie qui fasse consensus auprès de tous les partenaires de l’Union. Quelques suggestions se concentrent sur une liste élargie de produits sous surveillance, d’autres sur des mesures protectionnistes à l’égard des marchés publics. L’Union des marchés de capitaux (UMC), qui rendrait plus efficace l’allocation de notre épargne pour accélérer la réindustrialisation tant attendue et tellement nécessaire de l’Union Européenne, peut constituer un projet de moyen terme qui limiterait aussi le champ sur lequel les pressions, qu’elles viennent des Etats-Unis ou de la Chine, s’exercent. La remilitarisation de l’UE est un premier test déjà écorné par des dissensions. D’autres projets européens dans l’exploitation de l’IA, la transition énergétique et climatique, nous exonèreraient aussi de la seule alternative du marteau ou de l’enclume.

Brigitte TROQUIER – Economiste BRED Banque Populaire.

Octobre Rose : PREPAR s’engage aux côtés des femmes !

Il y a un après. Et il mérite d’être vécu pleinement.

Pour de nombreuses femmes, la fin d’un cancer du sein marque le début d’un nouveau chapitre : celui des projets, des envies, de la confiance retrouvée.

Chez PREPAR-VIE, nous avons choisi d’être à leurs côtés, sans condition.

Dès la fin du protocole thérapeutique actif — chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie — elles ont accès à assurance emprunteur distribuée par la BRED Banque Populaire sans surprime ni exclusion.

Plus besoin d’attendre 5 ans.
Plus besoin d’expliquer.
Juste le droit d’avancer, de rêver, de construire.

Un engagement simple, mais essentiel pour que la vie reprenne toute sa place.

Conjoncture financière à fin juin 2025

Droits de douane et croissance ….

Alors que se clarifient quelque peu les conditions auxquelles les produits étrangers vont rentrer sur le territoire américain, l’activité du second trimestre semble déjà s’adapter à cette nouvelle donne. Les résultats, encore éloignés des scénarii catastrophe que certains pouvaient élaborer, ébauchent des perspectives plus décevantes aux Etats-Unis, à l’initiative de ce grand changement.  La croissance, 2,4 % l’an, très supérieure à celle du premier trimestre au cours duquel la dégradation du solde extérieur avait entrainé l’activité en territoire négatif, masque un affaiblissement de la demande domestique, clé de voute du modèle américain. Ainsi, l’investissement privé, tant du côté résidentiel, qui continue à souffrir de taux élevés, que du côté productif plus sensible à l’incertitude, affiche un repli quand la consommation privée reste sur la défensive. Les récents résultats du marché du travail ne vont probablement pas atténuer cette prudence des consommateurs. En zone euro, la performance trimestrielle ne provoque pas de débat. En hausse de 0,4 % annualisée, elle subit un naturel ajustement après l’envolée des exportations de biens du premier trimestre.

Les résultats plus détaillés de la France et de l’Espagne sont contrastés. Dans le premier cas, la reconstitution des stocks en constitue le principal pilier, dans le second, la consommation privée y reste vigoureuse. La baisse de l’inflation, une politique monétaire plus accommodante de la banque centrale européenne sont les deux précieux leviers de l’activité dans cette zone. Ils pourraient continuer à participer à un rebond de la demande domestique sur la seconde partie de l’année.

La guerre commerciale menée par la nouvelle administration Trump n’a pas encore entamé la progressive reprise dans l’Union Européenne après le choc inflationniste de 2023. Le recentrage des politiques économiques sur la demande domestique, comme c’est le cas du programme du nouveau gouvernement allemand, ne corrigera pas les risques qui menacent la dynamique du commerce extérieur…. Au mieux en atténuera-t-il les effets.  

L’annonce triomphale de Donald Trump sur l’accord commercial avec l’Union Européenne n’est que le début d’un processus qui laisse de nombreuses questions en suspens…. Le sort des produits pharmaceutiques ou des semi-conducteurs, les éventuels quotas imposés sur des importations sensibles, acier et automobiles…. Quant aux contreparties d’un accord « moins coûteux » que les menaces de D. Trump», elles se déclinent dans des engagements encore imprécis en matière d’investissements, 600 Mds $, ou d’achats de gaz et autres combustibles américains, 750 Mds $ sur 3 ans.  

A la fin de ce premier semestre, un certain soulagement semble émerger de la publication des performances économiques de la période. Dans un premier temps, le reflux de l’inflation et les politiques économiques menées dans l’UE sont des soutiens incontestés qui lui permettent de résister aux vents contraires de la nouvelle donne imposée par les Etats-Unis. La reconfiguration de ses échanges au profit de nouveaux partenaires dans un second temps lui offrira l’occasion de retrouver une capacité de négociation qui lui a ici cruellement manqué. 

Brigitte TROQUIER – Economiste BRED Banque Populaire.

Valvie Invest Patrimoine II : Label d’Excellence 2025

Label d’Excellence 2025 pour notre contrat Valvie Invest Patrimoine II !

Un prix décerné par Les Dossiers de l’Epargne et de l’Assurance sur les points suivants :
• 2 modes de gestion disponibles : libre et sous mandat ;
• 4 options d’arbitrage automatique sans frais ;
• frais compétitifs ;
• garantie plancher ;
• gamme de supports variées ;
• performance du Fonds EURO au-dessus du marché !

Le Fonds EURO et le Fonds Croissance PREPAR Avenir II sont désormais classés Article 8 selon la réglementation SFDR.

BRED : Label d’Excellence
SBE : Label d’Excellence

Retrouvez l’ensemble de la publication.

PERI BRED : Label d’Excellence 2025

Label d’Excellence 2025 pour notre contrat PERI BRED !

Les Dossiers de l’Epargne et de l’Assurance saluent :
• ses 3 modes de gestion disponibles : libre, pilotée retraite et sous mandat ;
• ses frais sur versements compétitifs ;
• sa garantie plancher en inclusion (300 000 € de capital sous risque) ;
• et la performance de son Fonds Euros au-dessus du marché !

Le Fonds Euro du PERI est désormais classé Article 8 selon la réglementation SFDR.

Retrouvez l’ensemble de la publication.

Fonds Croissance PREPAR Avenir II : Label Sélection Premium eurocroissance 2025

Notre Fonds Croissance PREPAR Avenir II en tête du podium Good Value for Money, avec des performances 2024 comprises entre 3,30 % (pour le profil le plus sécuritaire) et 4,99 % (pour le plus dynamique).

Au-delà de ces performances, notre Fonds Croissance PREPAR Avenir II est désormais classé Article 8 selon la réglementation SFDR !

Retrouvez-le au sein les différents contrats PREPAR commercialisés par la BRED Banque Populaire et nos différents partenaires distributeurs : UNEP, Talence, LAPLACE, ZENITH.

Retrouvez l’ensemble de la publication.

Conjoncture financière à fin mars 2025

La guerre commerciale rebat les cartes

A l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, le menu de son programme était limpide. En revanche, le dosage, ainsi que la rapidité avec laquelle il a été appliqué, ont surpris toutes les communautés. Sur le plan domestique, les décrets s’enchainent sans qu’aucun retour d’expérience ne puisse encore en mesurer les conséquences. Le délicat sujet du contrôle strict de l’immigration et des renvois de travailleurs étrangers se traduit par beaucoup de stress mais n’est pas encore lisible dans les statistiques du marché du travail. Il en est de même des coupes budgétaires et des fréquents ultimatums inscrits dans le programme d’économie du budget fédéral dirigé par Elon Musk. Ces économies très médiatisées n’ont pas freiné la hausse des dépenses publiques qui, à la fin mars 2025, avaient encore progressé de 5,4 % sur un an. La politique commerciale engagée par la nouvelle administration n’a en revanche épargné ni ses partenaires ni les marchés financiers. Elle a d’abord été appliquée à quelques produits, acier, aluminium, véhicules.  Puis, elle s’est étendue, dès le 2 avril dernier, à hauteur de 10 % sur tous les produits importés aux Etats-Unis par tous les pays du monde, majorée selon l’importance du déficit commercial. A titre d’exemple, en provenance de l’Union européenne, cette taxe s’élevait à 20 %, soit 10 fois celle qui était en vigueur avant « ce libération day ». La suspension de cette mesure pour 90 jours laisse la question en apesanteur, sauf pour la Chine qui, imposée à hauteur de 145 %, n’a pas été exemptée à titre conservatoire et a répliqué dans des proportions assez proches. Cette stratégie remet en cause les prévisions de croissance mondiale du FMI qui a récemment publié ses dernières analyses : en hausse de 2,8 % pour l’année 2025, la croissance perd 0,5 point sur l’année. Les Etats-Unis, à l’origine de ce chambardement, perdrait près de 1 point à 1,8 % selon cette même institution.

Si, dans un tel environnement d’instabilité, il est plus difficile encore d’établir des projections solides, il semble néanmoins que l’administration américaine ait pris conscience du risque qu’elle fait peser sur son économie et plus encore sur ses marchés financiers. Ainsi, ses récents revirements, que ce soit en matière de droits de douane ou de menaces sur le mandat du Président de la Banque Centrale américaine ne peuvent s’expliquer qu’à travers le prisme des marchés boursiers, des marchés obligataires et du dollar. Mr Trump n’est cependant pas au bout de ses déceptions, car sur le plan conjoncturel ces mesures et ces contre-mesures érodent la confiance des uns, accroissent la défiance des autres. Les ménages consomment moins et les entreprises accumulent des stocks de produits importés, qui vont à leur tour creuser un peu plus les déficits à l’origine de cette stratégie.

La guerre commerciale au pas de charge menée par l’administration Trump s’essouffle. Et si « ce deal » échoue, il sera difficile pour ses partenaires d’accepter de rebattre les cartes pour reprendre une partie en toute confiance.

Brigitte TROQUIER – Economiste BRED Banque Populaire.